
Résultat(s) de la recherche
40 éléments trouvés pour « »
Posts de blog (22)
- Jésus disait
Hors série Pierre lui dit : "Puisque Tu te fais l’interprète des éléments et des événements du monde, dis-nous : Qu'est-ce que le péché du monde ?" L'Enseigneur dit : "Il n'y a pas de péché. C'est vous qui faites exister le péché lorsque vous agissez conformément aux habitudes de votre nature adultère; là est le péché." Évangile de Marie Au fond, là, est-ce qu'on ne serait pas capables de se sortir de cette crise mondiale..."en deux coups de cuillère à pot" !?! publie Jean Simon sur sa page d'un réseau dit social. Nous y voilà : « En deux coups de cuillère à pot » Simple, facile, rapide ! « Oui »… dans l’absolu. « Non » dans notre condition humaine. En effet, il ne s’agit plus de rejeter tous les torts sur autrui, d’accuser, de manifester, de se révolter, de se protéger, de se croire juste. Il s’agit de devenir capable de s’aimer tel que l’on est ; un fatras d’empêchements Habité d’EspritAmour. Et à partir de là, oeuvrer à soi-même pour la bonification de l’humanité, et cela, quoi qu’il en coûte à soi-même et seulement à soi-même. C’est l’extra-ordinaire « Don de Soi », le « sur la Terre comme au Ciel » qui ne se résout pas en multipliant les lois coercitives. Parler vrai, dénoncer, expliquer, orienter, initier à la Grâce : oui! Parler vide, culpabiliser, imposer, apeurer, manipuler, séquestrer la Connaissance : non! Et puis…quelle cuillère, ou plutôt quelles cuillères ? Quel pot ? En fait, un seul pot commun pour d'innombrables cuillères. Si nous restons bruts de chez brut de pot, nous stagnons avec, en outre, la possibilité de fabriquer ferme de l’enfer. Si nous nous laissons initier à la Grâce, être polis (de polir), une faille se crée, le sens apparait, et nous ouvrons la voie au paradis sur la terre. Heureux les affligés ! (les polis, les en-taillés, les labourés) Le brut ou les 7 péchés capitaux Ceux-ci sont autant de maladies et de malfaçons d’une vie privée de sagesse —Pour ceux qui sont devenus allergiques au terme « péché », je précise que ce mot est d’origine hébraïque et qu’il y signifie « manquer le but », c’est ainsi que j’utilise plutôt les termes « empêchement, déviance et déviation ».— En effet, « toute déviation est une perversion émotionnelle d’un instinct naturel qui ne trouve pas l’accomplissement qu’il souhaite. ». La grande cuillère à soupe est l’instinct de conservation. Or il arrive qu’un décalage s’opère entre ce que l’individu, dans son instinct d’auto-affirmation, croit être et ce qu’il est effectivement. Les sept péchés capitaux, notamment dans leur portée morbide d’atteinte à la santé corporelle de l’individu, sont le produit de ce « décalage » au cœur de l’instinct de conservation, donc de la vie. Et les découvertes de certains scientifiques actuels, notamment en neuroscience, en physique quantique ou en médecines parallèles, ne disent pas autre chose. Venons-en aux multiples cuillères, leur diversité est étonnante : à cocaïne, à absinthe, à consommé, à caviar, à orgeat, à dessert, à thé … À cocaïne, tel l’orgueil (ignorance déguisée) où la puissance imaginative dépasse la puissance réelle de l’individu en créant ainsi un mouvement non naturel d’instinct de conservation. Déviation perverse de l’instinct d’auto-affirmation, l’orgueil détache l’individu de la vie réelle et le rend malade. Heureux les simples d’esprit ! (les disponibles à l’Esprit Saint, à ce que l’on entend pas avec les oreilles, à ce que l’on ne voit pas avec les yeux) Le « Rescue » universel et gratuit. À absinthe, telle la colère qui justifie bien son étymologie grecque (kolé) « passion bilieuse ». Contrairement à la peur, la colère, cette émotion agressive, « voit rouge » : le sang afflue au visage, l’individu est prêt à la riposte. La santé en prend un coup car « l’homme se fait de la bile. », le corps tire la sonnette d'alarme. Heureux les doux ! La cuillère à consommé sert l’envie (> convoitise, jalousie), cette perversion de l’instinct de propriété lui-même prolongation de l’amour de sa petite personne et de l’instinct de conservation personnelle. Le dérèglement produit par l’envie concerne l’éthique du désir, c’est à dire de la vie même puisque « désir » et « pulsion de vie » (éros) sont la même chose. Posséder, possédé. Consommer, consommé. Heureux les affamés et assoiffés de justice ! (voilà la faim et la soif en vérité) Quand la soif de possession n’a plus de retenue, elle se met à utiliser la cuillère à caviar de l’avarice. Il s’ensuit que l’avare se coupe des autres, se retranche en lui, s’imposant parfois une certaine austérité à lui-même et l’imposant toujours drastiquement aux autres, austérité qui va à l’encontre des besoins vitaux. Manger moins que nécessaire, perdre le sommeil, s’enfermer dans l’obsession du vol ou de l’incendie… Heureux les miséricordieux ! (le miséricordieux, lui, est Plénitude.) La cuillère à orgeat de la luxure concerne la passion de la chair et son instinct de reproduction. Une fois de plus, une loi de vie est déviée de sa cible. Le pire, c’est que dans la luxure, le danger est double : pour soi et pour son(ses) partenaire(s). Le danger de cette recherche effrénée de plaisir conduit au complet enferment dans cette recherche (ce qui est déjà un empêchement considérable) qui ne sera alors plus faite que d’escalade puisque, par essence, elle ne peut jamais être satisfaite en matérialité. De là des pratiques contre-nature terriblement destructrices de l’intégrité des victimes ; inceste, viol, pédophilie, meurtre. C’est ainsi que la luxure représente une atteinte majeure à la sainteté de la vie : dans sa nature, dans sa continuité, dans son harmonie. Je tire ici un signal d’alarme car nous en sommes à une époque qui loue toutes les déviances et qui les instaure en normes par tous les moyens pour son…insatiable plaisir déviant. Le plaisir est un cadeau et la joie de la saine sexualité est un don du ciel nécessaire. Rien que le plaisir tout le temps tout de suite est une prison. Heureux les cœurs purs ! (Oui à la Grâce, c’est oui pour toujours sur le chemin épineux) La cuillère à dessert de la gourmandise paraît bénigne alors que nous avons là l’origine de toute une série de désordres de santé physique et donc psychique. Déviance provoquée par les plaisirs de la bouche (goula, en latin), la gourmandise représente un risque permanent pour la santé en raison de l’excès alimentaire : fatigue de l’organisme, risque d’obésité avec tous ses corollaires, et toutes sortes d’engorgements et blocages. Le corps ne peut plus répondre correctement à sa fonction initiale de « conducteur » de conscience, de véhicule d’apprentissage, d’ouvreur de Ciel sur la Terre, de Sel de la Terre. Le Livre des Proverbes conseille la sagesse alimentaire : « Ne sois pas parmi les buveurs de vin, (ni) parmi ceux qui se gorgent de viandes…Car les buveurs et les gourmands s’appauvrissent, et la somnolence fait partie des haillons. » (Prov.XXIII, 11-12). Par toutes les pratiques agro-industrielles et agro-alimentaires, les pays riches ne sont-ils pas tombés dans l’obsolescence programmée de tous les corps sur toute la planète ? Et beaucoup d'individus ont encore des pratiques alimentaires extrêmement mortifères. Heureux les artisans de Paix ! (Intérieure, la sobre ivresse n’a plus besoin de « sucreries » extérieures ou si peu.) De la somnolence à la paresse, « mère de tous les vices » dit-on, il n’y qu’une cuillère à thé. Cette grande accapareuse est le contraire de la méditation qui défend la vie dans sa sacralité. Elle est inaction, dégoût de vie. Le corps tombe en ruine, la santé s’effrite sous l’avalanche des maladies psychiques et somatiques. Les « progrès » technologiques portent en eux un revers de médaille dont il est indispensable d’être conscient afin de pouvoir l'éviter. Ce revers sape le tonus, l’élan et l’inspiration créatrice des hommes. Il les prive d’une de leurs nourritures primordiales ; les relations vivantes entre eux et avec la nature. Il les maintient dans le non-sens par le mensonge. Il fait dévier, il fait s’écarter, il fait se trahir l’homme à lui-même.Tous les peuples sont appelés à remaitriser la technologie en EspritAmour de toute urgence car les avancées dans les domaines de la connaissance du cerveau et des neurosciences permettent à certains personnages endurcis dans leurs cuillères métalliques, de provoquer, pour ce qu’ils estiment leur survie (voire leur immortalité que je qualifierais d’infantile.), peur, tristesse, lassitude et colère favorisant ainsi d’autres penchants nocifs qui « éteignent » littéralement la flamme humaine, la paresse se mue alors en paralyse. Heureux les persécutés pour la justice ! (Ceux qui voient, dénoncent et rejettent le non-sens, le mesonge.) Chaque vie humaine est unique et est un profond mystère. Nul n’est en mesure de juger qui que ce soit. Il n’en demeure pas moins que de par leur adhérence à la nature brute de leur nature, de terribles bourreaux existent et qu’ils en possèdent une grande puissance matérielle. Cependant, celle-ci n’a que peu, voire aucun, impact sur celui qui se donne. Qui se donne d’abord à la peine des deuils afin de devenir disponible à l’EspritAmour puis qui se donne corps et âme à sa vocation personnelle. Cette vocation, par Essence toujours inspirée, ne peut être que transformatrice et salvatrice. Autour de lui, tout peut s’effondrer, il est déjà ressuscité. Heureux êtes-vous quand on vous insultera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement contre vous toute sorte d’infamie à cause de moi. (Vivre en vérité révèle la vanité que d’aucuns ne peuvent supporter. Ils s'acharnent alors sur le…lanceur d'alerte.) Et tous ceux-là encore criant « liberté » qui, sans en être conscients, déroulent le tapis rouge à leur esclavage. Lien : L'art ancien de guérir - Docteur L.Schlosser - Éditions France-Empire
- Dialogues avec l'Ange ≈ Évocations PhotoGraphiques
page 368 - 2 On entend le grondement du front proche. Tout autour de vous, la destruction. En vous, l'éternel renouvellement, la purification, le don de soi, les noces. N'ayez pas peur ! Rudolf Steiner - Médecine géographique - St. Gallen, 16th November, 1917 https://rsarchive.org/GA/GA0178/19171116p01.html (…) Peu de temps avant de naître, nous sommes imprégnés par un autre être ; dans notre terminologie, nous l'appellerions un esprit Ahrimanique. Ceci est en nous tout comme notre propre âme est en nous. Ces êtres passent leur vie à utiliser les êtres humains pour pouvoir être dans la sphère où ils veulent être. (... ) Ainsi nous traversons la vie de telle manière que nous avons à la fois notre âme et un double de ce genre, qui est beaucoup plus intelligent, beaucoup plus intelligent que nous, qui est très intelligent, mais avec une intelligence méphistophélique, une intelligence Ahrimanique, et aussi une volonté Ahrimanique, une volonté très forte, une volonté qui est beaucoup plus semblable aux forces de la nature que notre volonté humaine, qui est régulée par la chaleur de l'âme (Gemüt). (... ) Et voilà quelque chose est révélé qu'à l'avenir il faut vraiment suivre si la race humaine ne veut pas connaître des entraves sans fin, des horreurs vraiment sans fin. Ce double dont j'ai parlé n'est ni plus ni moins que le créateur de toutes les maladies physiques qui émergent spontanément de l'intérieur ; et le connaître pleinement est une médecine organique, des maladies qui apparaissent spontanément à l'intérieur de l'être humain ne viennent pas par des blessures extérieures, pas par l'homme âme, ils viennent de cet être. Il est le créateur de toutes les maladies qui émergent spontanément de l'intérieur ; il est le créateur des maladies organiques. Et un de ses frère qui n'est pas composé Ahrimaniquement mais lucifériquement est le créateur de toutes les maladies neurasthéniques et névrosées, toutes les maladies qui ne sont pas vraiment des maladies mais seulement des maladies nerveuses, des maladies hystériques comme elles sont décrites Éd. Ainsi la médecine doit devenir spirituelle dans deux sens. (... ) Car certaines choses doivent arriver, des choses qui peuvent même être nocives dans une certaine direction, parce que l'être humain doit être exposé à ce qui est nuisible pour le surmonter et ainsi gagner de la force. L’Évocation PhotoGraphique recueillie le mercredi 13 février 2022 résonne avec "Le couronnement de Marie". Le logion 18 de l’Évangile de Thomas lui fait également écho : Les disciples demandaient à Jésus : Dis-nous quelle sera notre fin ? Là où est le commencement, là aussi sera la fin. Heureux celui qui se tiendra dans le commencement ; il connaîtra la fin et ne goûtera pas la mort. Le petit visage à gauche de l’image ressemble merveilleusement au petit Jésus de Prague. Non seulement la vierge de l’église de Heyd où a lieu le "petit chapelet spontané" chaque mercredi, elle celle de ce Jésus, mais ceci est particulièrement poignant vu la guerre actuelle qui sévit à l’Est et qui nous implique tous. En haut, le visage que j’ai fait ressortir a le même sourire, un sourire de plénitude intemporelle. À bien y regarder,… c'est le même visage, comme s’il y avait continuité entre l’un et l’autre. Continuité entre le terrestre, l’ici et maintenant, et le céleste, le divin de toute éternité. Deux plans en communion. Les deux visages sont couronnés ; l’un a une couronne royale typiquement représentative du pouvoir sur la terre et l’autre a une couronne de facture inconnue, comme immatérielle. Et cette “couronne”, une fois bien contrastée, m’a étonnée. Elle ressemble à un serpent, oui, un serpent. Un serpent dont la tête calme, au-dessus du visage de la “vierge” est tournée vers l’arrière, il scrute le fond bleu. Non seulement il n’est plus menaçant comme toujours représenté dans les illustrations de l’Apocalypse, mais il est protecteur et sublimateur de l’être accompli qu’il couronne. Cette couronne est d'une symbolique époustouflante, nous sommes loin des représentations de couronnes traditionnelles produites par l'intellect formaté. Car tel est le Royaume ! Les représentations du serpent écrasé sous les pieds de la femme sont des représentations émanant d’une vision duelle du monde ; le bien contre le mal, le vainqueur ÉCRASANT le vaincu. Le vainqueur c'est le gentil et le vaincu, le méchant. Le Royaume, les Noces, c’est l’union des contraires ; “Vous, soyez simples comme la colombe et attentifs comme le serpent.”, dit Jésus dans l’Évangile de Thomas. L’habit d'Ève (Marie - Mère de Dieu) est d’une multitude de nuances. On retrouve particulièrement un manteau d’un bleu céleste, un trait de robe rouge comme le sang humain, entouré de part et d’autre de jaunes ; la Vie. Vie dans laquelle baigne l'enfant. Enfant-Vie (= royal) car en relation intime et continue à son Ève-mère qui n'est autre que son éternel LUI-MÊME. Ainsi cet enfant-paix, tel l’harmonie incarnée, porte-t-il un regard à la fois lucide et doux, quoi qu’il voit, quoi qu’il advienne, un regard d’une pureté inouïe car sans jugement sur ses forces sauvages en miroir qu'il expérimente sur la Terre. Il connaît que ces forces sauvages qui provoquent, qui attaquent, qui brûlent et qui détruisent, œuvrent au néant à la mise en Lumière (en EspritAmour). Tous les petits "moi" humains sont le MOI de l'ÊTRE. Voilà notre place dans la création. Pas de paix raisonnable et fructueuse entre les hommes sans Paix Intérieure, celle que le NazaréenLumière a donné à ses disciples en disant : “ Je vous laisse la paix, je vous donne Ma Paix.” Il connaît l’être humain ; lorsque celui-ci perd son regard originel d'Enfant-Vie, il chute en dualité. En s’abîme-ant ainsi il se configure aux entités ténébreuses. Non seulement il ne se bonifie plus mais il se fait grand tort. Au mieux il se crispe, au pire il “cultive” la mort. Non seulement il goûte alors la mort mais tous les rapports humains en sont violemment perturbés. “ Connais-toi toi même et tu connaîtras l’univers et les dieux.” (Temple d’Apollon à Delphes)
Autres pages (18)
- les petits livrets de l'Esprit | Esprit Photo
P our une tendre humanité souveraine et glorieuse I ncarnation Les petits livrets de l'Esprit sont le cœur du site Esprit Photo. À partir de 2007, mon travail photographique s'est trouvé appelé à témoigner de la Présence EspritAmour qui, sur la Terre, fait de l'être humain son allié de choix, même si cela n'apparait pas au premier coup d'œil, je vous l'accorde. Témoignage PhotoGraphique est un petit carnet édité en 2019 qui relate mon cheminement avec ses expériences. Il apporte des éclairages à la fois simples et essentiels en ces temps pour le moins bousculés où beaucoup se retrouvent dans le tourbillon des illusions, dans un chaos logique mais douloureusement perturbateur, dans de vaines soifs qui peuvent rendre fous. En regard de ce glissement inéluctable loin du Sens, je propose ici dans les livrets, un recueil d'Évocations PhotoGraphiques couplées aux visions-réflexions qu'elles suscitent. Si elles dérangent, si elles bousculent, si elles provoquent*, c'est en toute bienveillance afin de nous bouleverser en vérité. Je souhaite qu'elles inspirent le visiteur. * Emprunté au latin provocare, de pro- « devant » et vocare « appeler ». Donc « appeler dehors », « faire venir », « faire naître quelque chose », d'où « défier », « inciter à une attaque, à une action violente, ou à y répondre » 2 020 , 2021 … Le grand chambardement ! Le nettoyage par le vide ? Quel vide ? Et après ? À vivre non consciemment dans un spectacle effréné permanent, l'A mour, l'EspritAmour, la Plénitude sereine et souveraine, ne peut s'épancher. Dans cette opacité dense et figée qui va jusqu'à l'indisponibilité totale, IL s'effiloche, IL "tourne à rien", IL est comme tenu à l'écart de son lieu de prédilection sur la Terre; l'intériorité humaine où il est Sensé Régner de son inconditionnel Don. La B eauté, engloutie dans l'apparence du futile et du décadent où tout s'évalue en consommable et bancable, ne peut, dans cette concrétion pesante qui tourne en circuit fermé, créer la brèche vers Son invisible harmonique. Alors, en dernier recours; la C rise, pour percer l’abcès, vider la plaie, réajuster le tir et repartir à neuf en ne commettant plus les mêmes erreurs. Tout est là ! La crise mondiale actuelle n'échappe pas à cette règle implacable qui exige un checkup complet de l'homme-barrière. Cette "Ô porte Unité" se présente aujourd'hui avec violence à un nombre considérable d'humains en même temps. Serait-ce les prémices d'un terrain propice à notre Être Divin* incorruptible, donc hors temps et espace ? Sans cette découverte essentielle à grande échelle, l'humanité persiste dans une matérialité dominée par la conscience de finitude, elle établit donc ses règles sur le manque . Manque physique ou psychologique (besoins, désirs, addictions, jusqu'à la convoitise effrénée ). Ce manque-là n'est que le symptôme qui, outre les phénomènes de transformations qu'il produit, autrement dit la vie, est Sensé nous pousser, nous humains, à en re-chercher La Cause. Donc, soigner les symptômes sans se préoccuper de La Cause, nous détourne de la Source. En ne se concevant que mortel (oui notre carcasse matérialisée n'est qu'un phénomène temporel), ce sont la peur et l'égoïsme qui mènent le monde. Ce dont il témoigne à chaque instant en chaque endroit du globe depuis des milliers d'années, autant dire rien, mais suffisamment tout de même pour vouloir changer de cap, du moins pour certains. Les "maitres" de ce vieux monde freinent des quatre fers les pistes favorisant les prises de conscience en vérité car ils ont besoins d'esclaves, de beaucoup d'esclaves. Dominants, ils se doivent impérativement de soumettre le dominé, le faible. De là à l'exploiter, c'est un pas que l'humain, contrairement à l'animal, franchit aisément. Les grands enfermés fonctionnent en matérialité bouclée sur elle-même, en finitude, l'Ouvert ne les conscientise pas. La fluidité libérée par la prise de conscience de notre Incarnation EspritAmour, notre participation à Lui, et donc notre "remontée" en similarité avec Lui, est, sans qu'ils la connaissent en vérité, ce qu'ils redoutent le plus; ils perdraient tous leurs manipulés. N'ayant d'autre horizon que le créé, le fini, ils ont une peur panique de la vieillesse et de la mort. Frôleurs du néant, ils développent par des moyens finis la mégalomanie d'immortalité, se construisant ainsi eux-mêmes leur propre néant. Alors, comme ils ont les moyens financiers proportionnels à leur intelligence ivre, ils s'emballent et ils s'enfoncent toujours plus loin dans une voie qu'ils proclament, entre autres, transhumaniste pour le bien de l'humanité . Simple voie vieille s'usant jusqu'au bout et dont nous pourrons peut-être tirer quelques avantages momentanés, mais qui n'a cependant rien de comparable à celle à laquelle les êtres vibrant au diapason d'un autre plan sont promis. Deviendrons-nous cousins, un peu comme un homme actuel et un chimpanzé, ou s'éteindront-ils dans leur voie sans issue…? Ce qui est sûr et doit être dit, c'est lorsque la Source, et non toutes les illusions changeantes qui nous occupent, devient notre principale (seule) ressource, nous vivons les embûches, la souffrance, les injustices, autrement parce qu'imprégnés d'eau vive. Les aléas de la vie terrestre continuent, cependant ils ne nous asservissent plus. Mieux, ils nous font grandir, ils polissent toutes nos faces. Mille faces, un diamant-perle dont la Source extérieure née consciemment à l'intérieur, s'exhorte désormais à S'irradier partout, en tout, en chacun telle "Origin'Elle". Par Loi de "consubstantialité", de similarité à la Source (Exprimé dans "Dieu a fait l'homme à son image."), nous accédons à des dons Vitaux particuliers. Là est notre avenir en vérité, le Royaume, la Plénitude. Et ce n'est pas demain la veille, c'est ici et maintenant! Tant que les humains ne se re-Co-naissent pas frères en Esprit Amour, disent certains inspirés, les régimes sociétaux auront beau changer et essayer de s'adapter avec les meilleures intentions du monde, ce sera en fin de compte toujours l'intérêt particulier (les égos) qui aura le dessus sur l'intérêt général (dans le sens de pluralité joyeuse non de totalitarisme basé sur une masse indifférenciée). Comment cela se fait-il ? Tout d'abord, ce constat signifie que pour se reconnaitre frères, il faut un père commun, et beaucoup s'arrêtent encore à une image simpliste que la Co-naissance n'a pas réajustée. Cela étant, les lois sont édictées sous l'emprise du manque à vue courte plutôt que dans la cohérence de la Plénitude . Qu'il s'agisse de communautés, de solitaires, de riches, de pauvres, de sages, de farfelus, de jeunes, de vieux, peu importe quand chacun a la possibilité de développer ses talents à sa propre place, fussent-ils handicaps ou grandes douleurs, parce que la Plénitude s'est étendue et commence a harmoniser les lois à La LoiSource (ceci sera développé au fur et à mesure.). L'Unité, ou mieux, l'Union, la ComUnion, loin de s'opposer au totalitarisme, le transcende, le distille, l'évapore, tant la lourdeur de celui-ci, son conglomérat existentiel est coupé de la Source Souveraine. Qu'il en soit fini des sornettes qui nous tenaient et nous tiennent encore prisonniers, et en l’occurrence taillables et corvéables à merci. Si et seulement si… Sur ce chemin, les circonstances qui nous éprouvent nous affinent et nous affermissent. Elles font partie de l'"arsenal" d'un processus conçu pour que nous puissions à notre tour éprouver et rayonner notre Nature Originelle. Dans notre société de "bien-être" à tout prix, et dont tous les marchés tirent leurs profits exorbitants, malsains et mortifères, l a souffrance est prêchée tel un scandale qu'il faut éradiquer en se focalisant sur le symptôme et non sur la cause (encore et toujours), c'est stupide et vicieux. Une épreuve qui nous fait souffrir devrait nous amener à essayer d'en comprendre l'origine et les mécanismes afin d'en faire un levier vers une fluidité de plus en plus profonde. Une grande souffrance peut très bien nous sortir d'un confort qui nous tue à petit feu. Une autre, en acceptant simplement son mystère en toute humilité, peut nous éveiller à une connaissance de soi…méconnue et ô combien salvatrice. Alors, sans la rechercher ni l'entretenir, il nous devient possible de l'accueillir pour ce qu'elle est, un phénomène extérieur expérimental et passager sur le chemin du Non-Retour Joyeux. Cette disposition étant de mieux en mieux vécue d'autant qu'elle s'accroit proportionnellement au développement de l'empathie commune. Ce flot débordant ne peut alors que ruisseler vers les plus exposés, les plus démunis, vers l'innocence, vers la pureté de toute la création jusqu'au cœur même de sa brutalité sauvage et qu'une humanité de manque condamne de plus en plus à d'atroces supplices. Bien sûr, on ne peut envisager cette disposition…"radicale", sans une entrée en Conscience nouvelle, une Co-naissance, naître de nouveau comme dit le Christ. Et c'est Cela qu'il faut hâter, intensifier. À ce propos, il me semble que la psychanalyse s'arrêtent là où Cela commence. Si elle apporte souvent une aide appréciable incontestable à un individu à un moment donné de sa vie, elle n'a pas vocation la Co-naissance en EspritAmour, et peut donc freiner voire bloquer un tel cheminement , provoquant parfois, selon moi, des dégâts inutiles. N'étant pas spécialiste en la matière, il se peut qu'il y ait dans ce domaine de nouvelles ouvertures que, personnellement, je ne connais pas. Et puis, peut-être est-ce là finalement la place de la psychanalyse dans le processus du Vivant. Le roc de l'EspritAmour n'a pas son pareil pour nous guider, flexibles et droits, dans toutes nos tribulations humaines. Clairvoyance et Force tranquille. Cependant, son efficacité n'ayant d'égal que son intransigeance, nous sommes libres d'adhérer ou non à son programme. Nous ne sommes pas tous prêts (disponibles) de la même façon mais ce qui est sûr, c'est que le choix peut se présenter à tout moment, l'appel est omniprésent. L'important pour avancer, est que la réponse soit claire ; quand c'est oui, c'est oui. Cette simplicité en vérité, se révèle dans la pratique une profession de foi de chaque instant. Être à la fois page vierge à l'EspritAmour et vieux gribouillis pour le plupart incohérents, n'est pas facile. Mais qui a dit que c'était facile ? Notre passage phénoménal sur Terre nous présente, à nous humains d'aujourd'hui, des aptitudes, des occasions, des chances et des grâces uniques, "uniques" dans le sens de personnelles et de précieuses. Ce sont les fameux "talents" de la parabole. Dans la crise actuelle, si nous nous contentons de pleurer de façon infantile nos petites libertés matérielles perdues, si notre seul espoir est celui de revenir "comme avant" en punissant les "méchants" et en récupérant nos "droits acquis", et si possible beaucoup plus, sans nous remettre profondément en question afin de favoriser notre "conversion", non seulement nous nous leurrons car cela sera impossible, mais nous contribuons, sous couvert de combats pour la bonne cause, à accentuer la situation délétère de l'humanité. Les croisades, tous domaines confondus et bien que nécessaires, ne résolvent rien en profondeur, alors que prendre son bâton de pèlerin à chaque instant… Aucun responsable, dirigeant, législateur, et à fortiori celui appelé aux plus hautes fonctions, ne devrait accéder à son poste avant d'avoir d'abord été pèlerin sincère. La Co-naissance en vérité n'a rien à voir avec une guidance arbitraire, une morale idéologique, une spiritualité désincarnée ou élitiste ou new-age, elle ne s'adapte tout simplement pas au vieux monde. Par capillarité, elle infuse le Meilleur au cœur de chacun dans tous les pans de la société. Elle peut remonter ainsi jusqu'aux divers systèmes économiques et politiques qui, à quelque rares exceptions près et dont la Belgique et le France sont très loin de faire partie, sont devenus maffieux. J'ai foi en ces temps qui viennent. Le seul héros en vérité est le pèlerin, le colimaçon comme l'appelle Jacqueline Kelen dans son magnifique livre "Le bréviaire du colimaçon". Ni régression, ni fuite en avant, le cœur en éveil laisse derrière lui et accueille ce qu'il découvre. Par là, et par là seulement nous accédons à la Souveraineté en vérité. Ainsi les actes justes se posent. Des actes coulant de Source et prodiguant Ses eaux de par leurs coupes débordantes. De dominants/dominés, producteurs/consommateurs, exploitants/exploités, l'Être humain passe Fils de l'Homme. Échanson enchanteur enchanté. Les voix et les voies qui accouchent l'âme en vérité sont précieuses. D'expérience toutefois, à l'amour de la Sagesse, je préfère la Sagesse de l'Amour*, Plénitude Inconditionnelle ; un sésame pour passer "converti"(re-tourné, tourné de nouveau en vérité) dans la crise, les crises. *Amour : un mot ô combien incompris et galvaudé, particulièrement en cette époque de tapages abrutissants. * Divin, Dieu : pour privilégier la clarté j'utilise un terme sans équivoque même si aujourd'hui il est souvent décrié. L’indicible ne pouvant s'écrire en mots, ceux-ci sont un pis-aller. La Source est une image qui me semble proche de l'idée de Dieu. Dans les évangiles canoniques, Jésus l'appelle souvent "Père", ainsi qu'une fois dans l'évangile de Thomas où il ne fait allusion à Dieu que dans l'expression "Royaume de Dieu". Pour ma part, je recours aussi à des nouvelles constructions telles que : EspritAmour en un mot, Amour-Intelligence-Créatrice, LAC (Lumière Amour Conscience), Plénitude Inconditionnelle… Bienvenue dans les petits livrets de l'Esprit ! Témoignage PhotoGraphique (Livret – Édition papier juin 2019) La tête à l’an fer allant fer à l’enfer (Vision juin 2019) Dialogue avec l’ange (Publication évolutive ouverte) Jésus disait… (Publication évolutive) En silence… (Haïku) Manque Manque 2 Recueillies en Accor'danse aux vibrations d'un plan invisible, je précise que je suis simplement la réceptrice, la traductrice et la transmetteuse des Évocations PhotoGraphiques. Ayant débuté fin 2007, ces Évocations explosèrent en 2009. Plus rares à présent, celle du 16 juin 2019 constitue à elle seule le livret La tête à l’an fer allant fer à l’enfer . Puis celle d’octobre 2020, qui annonce le nouveau paradigme Le Temps du Fils de l’Homme commence. , celle-ci se retrouvera sans doute dans plusieurs livrets. 🔑 COMMENT SONT CLASSÉES LES VUES ? Je fais clairement la distinction entre une Évocation PhotoGraphique et les autres créations. Les instantanés (Haïku) > en silence (page ds les petits livrets de l'Esprit) Compositions Photographies plasticiennes Exposition sur un thème > Galerie (onglet) Réalisations anciennes > Album s (onglet) et/ou commerciales Évocations PhotoGraphiques > Jésus disait (pages ds les petits livrets de l'Esprit) > Dialogues avec l'Ange > Témoignage PhotoGraphique > La tête à l'an fer allant fer à l'enfer
- La tête à l'an fer allant fer à l'enfer | Esprit Photo
Satan et l'enfer sont bien présents dans le transhumanisme. Qu'est-ce que cela signifie exactement ? Le 16 juin 2019, je ne me doutais pas que j'allais photographier une mise en garde sur le système actuel du fonctionnement du monde. Avertissement sévère et sans appel destiné à dévoiler le processus de mort, comment nous en arrivons là, et comment il peut nous engloutir. Je vous livre ici le début du carnet ainsi que les pages 7 et 12 de la narration, l 'Évocation PhotoGraphique est plus loin dans le publication. Le carnet est publié dans son entièreté sur le blog proposé ci-dessous. Il y a urgence d'en prendre connaissance. Le Ciel ne ment pas. ©Anne-Ginetti.Evocation.Juin.2019 ©AnneGinetti 003W 12©Anne Ginetti Évocation 16 juin 2019 ©Anne-Ginetti.Evocation.Juin.2019 1/7 ©Anne Ginetti info@photoginetti.com La tête à l'an fer allant fer à l'enfer Vers le blog >
- En silence | Esprit Photo
Dans un océan de beauté la sagesse de l'esprit diffuse sa création. Trois lignes ; Haïku ! Comme l'herbe dans son drap blanc sur une plage. La magie de l'instant présent - Une photographie accompagnée d'un texte court Inspiré des Haïku japonais choisir un silence > En silence… En silence… En silence… En silence… En silence…